Rédiger des conditions générales : pourquoi elles peuvent faire toute la différence

En tant qu’expert-comptable, vous accompagnez les entrepreneurs dans une gestion correcte et efficace de leur société. Un élément essentiel de cette gestion est l’assemblée générale ordinaire (AGO). Dans ce blog, nous vous proposons un guide pratique pour mieux comprendre les aspects clés de l’assemblée générale, mais aussi pour aider au mieux vos clients dans la préparation et la tenue de celle-ci.

L’assemblée générale ordinaire (également dénommée assemblée annuelle ou statutaire) est la réunion annuelle des actionnaires d’une société ou des membres d’une association. Lors de cette assemblée, au moins trois décisions importantes sont prises :

  • L’approbation des comptes annuels ;
  • L’affectation du résultat (par exemple distribution ou mise en réserve) ;
  • La décharge des administrateurs et, le cas échéant, du commissaire.

En tant qu’expert-comptable, vous jouez un rôle crucial : de la préparation des documents financiers à l’accompagnement de l’élaboration de l’ordre du jour et du procès-verbal. Vous pouvez aussi conseiller vos clients sur les procédures à suivre pour respecter la législation.

Quelle est la différence avec une assemblée générale extraordinaire ou spéciale ?

Le Code des sociétés et des associations (CSA) fait une distinction claire entre l’assemblée générale ordinaire, décrite ci-dessus, et les autres types d’assemblées générales :

Assemblée générale extraordinaire :

Elle se tient lorsqu’il faut statuer sur la modification des statuts de la société, notamment pour un changement de dénomination de la société, une adaptation de l’objet social ou une modification des droits liés aux différentes catégories d’actions.

Assemblée générale spéciale :

Ce type d’assembléecomprend toute assemblée qui n’est ni ordinaire ni extraordinaire. Par exemple, une réunion concernant la nomination ou la révocation d’un administrateur non statutaire. Il est utile pour un expert-comptable d’expliquer à son client quel type d’assemblée est requis et quelles en sont les implications juridiques.

L’assemblée générale ordinaire (AGO) est le cœur battant de la prise de décision dans une société. Les actionnaires ou les membres y exercent leur droit de regard, surveillent la gestion, et participent à l’orientation stratégique de l’entreprise. C’est un moment essentiel de transparence, de responsabilité et de concertation.

Quels sont les points abordés lors d’une AGO ?

L’ordre du jour d’une assemblée générale ordinaire comprend généralement les points suivants :

  • L’approbation des comptes annuels ;
  • L’affectation ou la répartition du résultat.

Souvent, on discute aussi des éléments suivants :

  • La confirmation des règles d’évaluation ;
  • L’explication de la politique de gestion par l’organe d’administration ;
  • La confirmation du sort des comptes courants ;
  • L’approbation de la rémunération de l’administrateur ;
  • La discussion du rapport spécial relatif à la procédure de sonnette d’alarme et des décisions concernant la poursuite ou non des activités ;
  • La décharge des administrateurs et des commissaires.

D’autres sujets peuvent être ajoutés à l’ordre du jour, selon les statuts, la loi ou à la demande des actionnaires et administrateurs. En tant qu’expert-comptable, vous pouvez accompagner vos clients pour structurer ces points et garantir que les bons documents soient disponibles en temps utile.

Qui détermine les points de l’ordre du jour ?

Dans les sociétés non cotées, ce sont les statuts qui déterminent si un actionnaire peut ajouter des points à l’ordre du jour. Cela diffère des sociétés cotées, pour lesquelles ce droit est prévu légalement.

Un procès-verbal est-il rédigé pendant l’assemblée ?

Oui, un procès-verbal est établi après chaque assemblée, consignant les décisions de la manière la plus claire possible. Le procès-verbal est signé par les membres du bureau et les actionnaires qui en font la demande. L’expert-comptable peut veiller à ce que ces décisions soient correctement consignées.

En cas de modification des statuts, un acte notarié est nécessaire et ce dernier doit être publié au Moniteur belge pour certains types de personnes morales. Pour d’autres sociétés, cela peut être établi directement par la société ou l’expert-comptable.

Absolument. Toute société doit tenir au moins une assemblée générale ordinaire par an, généralement à la date fixée dans les statuts. Si aucune date n’est reprise dans les statuts, elle doit dans tous les cas avoir lieu dans les six mois suivant la clôture de l’exercice comptable. Les experts-comptables peuvent inciter leurs clients à agir à temps afin d’éviter toute sanction.

Comment les actionnaires sont-ils convoqués ?

En principe, une convocation écrite est envoyée aux actionnaires, au moins 15 jours avant la date de l’assemblée. Chaque actionnaire est informé individuellement. Si tous les actionnaires sont présents ou représentés, il est possible de déroger à ces formalités.

Tous les actionnaires d’une société ou les membres d’une association ont le droit de participer à l’assemblée générale. Une liste de présence est généralement établie et signée par les participants. Pour les sociétés cotées, cette liste doit être mise à jour régulièrement.

Qui préside l’assemblée ?

L’assemblée générale est généralement présidée par le président du conseil d’administration. D’autres fonctions peuvent être présentes, telles qu’un secrétaire et des scrutateurs, pour gérer les votes et les délibérations. Les statuts de la société peuvent aussi contenir des dispositions spécifiques sur la composition de l’assemblée.

Qui peut convoquer une assemblée générale ?

L’initiative de convoquer une assemblée revient à l’organe d’administration, quand cela est nécessaire ou requis par la loi, ou au commissaire dans des circonstances exceptionnelles. Dans certains cas, les actionnaires peuvent aussi en prendre l’initiative.

Quelle majorité est requise pour prendre des décisions ?

Sauf disposition contraire prévue par la loi ou des statuts, les décisions sont prises à la majorité simple des voix exprimées (la moitié + 1). Selon les cas, la loi ou les statuts peuvent exiger un quorum, c’est-à-dire qu’un certain pourcentage d’actionnaires ou de membres doivent être présents ou représentés, détenant un certain pourcentage du capital.

Des procès-verbaux transparents et détaillés sont essentiels. En tant qu’expert-comptable, vous le savez, les documents doivent être précis et complets afin d’éviter tout malentendus, débats et litiges. Le logiciel juridique Instaclause vous accompagne dans la rédaction de ces procès-verbaux, adaptés à la personne morale concernée et à la situation spécifique de l’année. La rédaction de l’assemblée générale devient alors un jeu d’enfant.

Algemene voorwaarden zijn alleen bindend als je klanten er daadwerkelijk kennis van hebben genomen en ermee instemmen. Het is daarom belangrijk om ze op een duidelijke, transparante en toegankelijke manier te communiceren, zodat er achteraf geen discussie ontstaat.

In veel B2B-situaties volstaat het om je algemene voorwaarden vooraf mee te sturen met de offerte of bestelbon. In een B2C-context zijn de eisen echter strikter. Hier moeten je algemene voorwaarden uitdrukkelijk worden aanvaard door de klant voordat de transactie of overeenkomst wordt gesloten. Dit betekent dat de klant actief akkoord moet gaan met de voorwaarden, bijvoorbeeld door ze expliciet te ondertekenen of een vinkje te zetten in een checkbox. Zorg er dus voor dat je algemene voorwaarden duidelijk en gemakkelijk toegankelijk zijn, zodat de aanvaarding juridisch bindend is.

Instaclause renforce les rangs des comptables et crée des documents juridiques sur mesure et conformes.


Réservez votre démo ici